Voici l'OAV tant attendu qui fera office de chapitre 11,5. Le style de lecture sera plus… différent.
Enjoi la lecture.
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« Ma vie n'est que mensonge. »
C'est ce qu'elle pensait depuis longtemps. Elle se leva lentement de son lit et regarda l'heure à sa montre.
« 15h 34 »
Elle marmonna quelque mots incompréhensible puis se dirigea vers la cuisine pour se faire à manger. Elle mangea en silence plongé dans ses pensées. Elle se demandait ce qu'elle pouvait faire encore. Elle n'en savait trop rien. Elle n'avait pas de familles, ils devaient sûrement tous être quatre pied sous terre. Elle essayait de réfléchir pour quels raison ils avaient disparus mais plus elle y pensait, plus elle se perdait dans un torrent de pensée incohérent qui ne lui appartenait pas. Elle voyait constamment un jeune homme souriant qui lui tendait la main. Il paraissait être partout. Mais qui était-il ? Cela faisait des mois qu'elle cherchait la réponse, en vain.
Après avoir mangé, elle sortit de chez elle avec son disque de duel à la main et commença à errer au hasard dans les rues de Domino City. C'était encore l'été et les rayons du soleil illuminait de plein fouet le monde, la chaleur était présente même si elle était supportable. La fille marchait lentement dans les petites ruelles du centre ville qui étaient à l'abri du soleil et où l'ombre quasi-permanente transformait le vent chaud en une douce brise qui lui faisait le plus grand bien en ce temps estival. A une intersection, elle prit le virage à gauche et vit tout à coup un homme sans vie allongé au sol, en sang. La fille se précipita sur lui et essaya de le réanimer :
-Monsieur ? Êtes-vous là monsieur ? Commença-t-elle de dire, paniqué, agenouillé au dessus de l'homme en sang.
Le blessé ouvrit lentement les yeux. Il devait avoir la quarantaine, le cheveux brun, quelque rides apparentes autour de ses yeux marrons, un corps assez rectangulaire et devait mesurer un mètre quatre-vingt. Il souffrait d'une énorme entaille au niveau du thorax où le sang s'écoulait dans un lent débit. Lorsqu'il vit la fille, il ouvra grand les yeux puis commença à essayer de lui parler :
-T… T…
-Non, arrêtez monsieur, ne bougez pas. Vous allez ouvrir encore plus profondément votre blessure. Je vais appeler les urgences.
-N… Non.
-Non monsieur, arrêtez ! Vous allez vous en sortir, je sors mon portable. Regardez ! Il est dans ma poche. Voilà, là. C'est bon je l'ai sorti…
-A… Arrête…
-Tenez vous tranquille, regardez je les appelle ; la fille était totalement paniqué et dans sa précipitation, elle fit tomber son téléphone. Elle se pencha pour le ramasser.
-Je… te… connais.
-Non monsieur, vous êtes seulement en train d'halluciner (elle ramassa le téléphone), c'est bon je les appelle (sa voix tremblait). Tout à coup, elle sentit une main s'agripper au bras qui tenait le portable, elle sursauta et tourna la tête vers le blessé.
-Ne… Ne les appelles pas. Ils ne peuvent… plus rien pour moi…
-Mais si ! Vous allez vous en sortir ! Tenez bon monsieur !
-J'ai… fais un duel des… ténèbres, j'ai… perdu. Mon âme est perdu.
-Non, monsieur… Il y a toujours un…
-Écoute moi… Je dois te prévenir… Tu vas… rencontrer une personne…
-Mais qu'est ce que vous dites ?
-Je te connais… J'ai vu l'avenir… On voulait me faire… taire… Mais par chance, tu es… là. Écoute moi attentivement… Je suis un descendant de… Alfilya…
-Mais ils avaient tous disparus ! Monsieur, vous commencez à délirer.
-Non… Pas tous… Il en reste quelque uns… dont moi… Aaah !
-Qu'est ce qu'il y a !?
-Ma blessure… elle fait… un mal de chien… Écoute… je n'ai pas le temps de tous te dire… Je vais devoir faire un transfert…
-C'est une blague n'est ce pas ? Vous ne pouvez pas être d'Alfilya ! Et puis c'est quoi un transfert ?
-Écoute ! (l'homme cracha une gerbe de sang) je n'ai plus de temps ! C'est… le sort du monde qui est… en jeu ! Aaargh !
-Monsieur !
-Viens… approche toi, je vais effectuer le transfert.
-Je ne suis pas sure…
-Je t'en supplie… je vais mourir de toute façon… (la voix de l'homme commençait à perdre en tonalité)
-D'accord ; dit elle résigné à faire une chose qu'elle ne connaissait pas.
La fille s'approcha de l'homme, il lui prit sa main et la posa sur son front ; tout à coup, la fille eu un brusque sursaut et cela la fit enlever la main du front de l'homme. Elle transpirait, des gouttes de sueurs perlait sur son front. L'homme, laissa retomber sa main sur le sol, inerte. Il avait rendu son dernier souffle, c'était ce qu'elle croyait. La fille vit un flot de pensées et de souvenirs entrer dans son monde intérieur. De multiples souvenirs l'assaillait de toutes part. Elle resta paralysé devant le cadavre de l'homme pendant de longues minutes, essayant de remettre de l'ordre dans ses pensées, en vain. A un moment, elle se redressa puis appela une ambulance avant de partir du lieu où se trouvait le cadavre de l'homme avant que la police puisse arriver et l’interroger.
Une fois chez elle, elle se changea en pyjama puis alla se coucher. Des multiples pensées plus incohérentes les unes que les autres se bousculaient dans son esprit. Tantôt, elle voyait des images de ce jeune homme, tantôt des morceaux de souvenirs de l'homme. Elle voyait une femme qui devait sûrement être celle de l'homme en question. Elle n'arrivait pas à ordonner ses pensées et elle s'endormit quelques heures plus tard dans un maelstrom mental.
Elle fit une nuit sans rêve et se réveilla, l’esprit toujours emplie de tout ces souvenirs inconnus, même si moins désordonnée qu'auparavant. Elle n'avait toujours pas réussie à reprendre le contrôle de ses pensées. Elle alla dans un parc et y passa la journée assise sur un banc à regarder un point fixe dans le ciel avant d'aller se recoucher. Après avoir passé un semaine, elle se réveilla enfin avec les idées clairs et profita de cet instant de répit pour réfléchir à ce qui venait de se passer.
Elle comprit que l'homme avait effectué un transfert de ses souvenirs mais elle n'y arrivait pas à y accéder.
-Pas seulement un transfert de souvenirs ; lui adressa une voix intérieur.
Prise de panique, elle regarda autour d'elle.
-Je suis l'homme à qui vous avez sauvé son âme, il y a une semaine ; dit la voix d'un ton solennel.
La fille n'y comprenait plus rien et commençait à faire des gestes brusques, symptôme de son incompréhension face à la situation.
-Calmez-vous, je vais vous expliquer. Il y a une semaine, vous avez sauvé un homme blessé mortellement, il se trouve que c'est moi. Lors du transfert, j'ai transféré ma conscience ainsi que tout mes souvenirs dans votre esprit. La fusion de nos deux esprit a pris pas mal de temps mais j'ai enfin réussie à séparer complètement nos deux entités et je me suis verrouillé dans un coin de ton esprit. J'ai fais de ce fait pour ne pas te gêner, j'aurais très bien pu prendre le contrôle de ton corps mais ce n'est pas mon but et tu auras résisté. Par contre, je peux connaître chacune de tes pensées direct donc si tu veux me répondre, tu n'as qu'à penser les phrases, c'est ce que je fais actuellement.
-(La fille était déstabilisé) mais vous n'êtes pas mort ?
-Mon enveloppe corporel oui, pas mon esprit. J'ai réussie à le ré-intégrer dans ton esprit, il faut dire qu'il restait pas mal de place.
-Mais je ne suis pas juste folle ?
-Non, non, je vous assure que vous êtes pas folle même si je ne peux pas vraiment le prouver. Honnêtement, je n'aurais pas fais le transfert car je trouve cette pratique répugnante, des alfilyens ont réussis à survivre sur plusieurs dizaines de générations grâce à ce système et sont toujours présents à ce jour. Mais j'ai du le faire car il va avoir de grand changement de ce monde prochainement et je dois rester vivant pour accomplir mon destin. Après, je te laisserai tranquille.
-Vous m'avez dit que vous me connaissiez.
-Oui, je te connais mais je ne peux pas t'en dire plus actuellement car cela risquerait le sort du monde, je te le dirais après que tout soit fini.
-Après quoi ?
-Après avoir sauvé le monde bien sur. Bon, je vais te laisser remettre de l'ordre dans tes pensées, appelle moi quand tu le voudras.
-Euh d'accord…
La voix de ce mystérieux homme avait alors disparu laissa un grand vide dans l'esprit encore troublé de la fille. Elle ne comprenait pas bien tout ce qui venait de se passer et passa encore une semaine à ruminer chez elle, tel une zombie. Elle repensa à tout ce qui venait de se passer, se ressassait sans cesse les mêmes événements et se demandaient comment avait-elle put abriter une entité dans son esprit. De temps en temps, des frayeurs la prenaient, comme une peur instinctive et elle tombait alors dans les abysses de la réflexion, une abysse qui laissait place à la plus grande peur de l'homme, la peur originelle : la peur de l'inconnu. Après avoir longuement réfléchi, elle se reprit en main en contactant l'alfilyen dans son esprit.
-Monsieur ? Êtes-vous là ? Je me suis décidé et j'aimerais vous parler.
-Ah enfin, j'en avais un peu marre de poireauter tout seul dans un coin de l'esprit.
-Si vous le dites…
-Tu peux me tutoyer, tu sais.
-Très bien, comme tu veux. Déjà, juste pour me faciliter la vie, j'aimerais bien savoir qu'elle est vôtre nom.
-C'est vrai que j'avais oublié de le dire, je suis William Mcfrost soit Bill pour les intimes.
-D'accord Bill, je me suis décidé et après mure réflexion, je me suis dis que sauver le monde, c'est pas si mal que ça mais je ne connais pas du tout quel est la menace. Je veux bien vous aider mais il faudrait que je sache moi.
-Oui, c'est vrai. Tu as totalement raison. Je vais tout t'expliquer. Tu dois déjà le savoir mais longtemps avant notre ère, les hommes étaient déjà sur la surface de notre planète mais ils n'existaient pas encore le duel de monstres. C'était une sombre époque ou les guerres, les famines faisaient rage dans le monde. Les hommes s'alliant en plusieurs clan se battaient alors entre eux à mort par simple cupidité du gain. Il existait alors encore différentes races au sein de l'humanité, une des ces races étaient les alfilyens. Les alfilyens étaient une race plus développé que les autres et qui, par adaptation à son environnement, avait obtenu un pouvoir appelé le « dust ». Le fonctionnement du dust est assez complexe mais pour faire simple, il permet de modifier des choses présentes ou de tout simplement les annuler. Par exemple, tu te mets dans une situation typique de l'époque, un homme veut te tuer et te lance un javelot qui a pour but de te transpercer. Un alfilyen pourra alors annuler la présence de la lance grâce au dust et la lance disparaîtra alors comme par magie et n'aura alors jamais existé, mais sera resté à l'état de poussière. Ce pouvoir extraordinaire permit aux alfilyens de régner en maître sur les autres races et ainsi de les dominer. Les alfilyens étaient alors devenus une sorte d’aristocratie qui faisait bien attention à ne pas partager son sang avec les autres races. Imagine un peu à ce moment, si tu n'étais pas un alfilyen, tu n'étais rien, juste une sous-race inférieur.
-Mais ce n'est pas resté comme ça, je présume.
-Non, un jour est apparue ce dieu. Personne ne sait si il était réellement humain mais une chose est sur, il avait d'immense pouvoir et a exterminé les alfilyens qu'il trouvait bien trop oisif et imbu d'eux même pour être digne de vivre. Peu d'alfilyens survécurent à ce massacre. Je sais qu'une grande bataille à été livré contre ce dieu, plus d'un millions d'alfilyens se sont attaqués à la cité du dieu pour essayer de le tuer mais il périrent tous en moins de dix heures.
-Quoi ?!
-Oui, nul ne pouvait défier ce dieu car il était bien trop puissant. Le dieu régna de longues années sur le monde et unifia les races humaines pour n'en donner qu'une, la nôtre. Quelques alfilyens survécurent et vécurent cachés parmi la population, reclus de ce monde nouveaux. A la fin de son règne, le dieu instaura alors les Rulodominus, ces quatre règles qui régissent notre monde actuel, puis disparu. Les hommes furent quelques peu désemparé de sa disparition mais ils s'adaptèrent rapidement et évoluèrent pour donner ce monde. Les alfilyens survivants se mélangèrent à la population et cela diffusa un nouveau pouvoir parmi les hommes toujours basé sur le dust. Ils peuvent modifier certaines choses dans les duels de monstres et uniquement durant les duels de monstres.
-Comment ça ?
-Ils peuvent par exemplaire choisir la carte qu'ils vont piocher, ou encore changer une carte posé, bref, ils peuvent modifier les règles du jeux à leurs avantage.
-Mais normalement c'est impossible ! Les Rulodominus empêchent toutes sortent de triches !
-Ils ne peuvent pas empêcher le dust. Heureusement, peu de personnes possèdent le dust, et encore moins de personnes peuvent s'en servir mais si tu y arrive, tu deviens bien plus fort dans le duel de monstres. Heureusement chaque personne ne possède qu'une seule compétence spécial basé sur le dust. Si tu possèdent la « miracle draw » (le fait de toujours piocher la bonne cartes), tu ne pourras pas utiliser le « trap switch » (permet de changer une carte piège poser) et ainsi de suite. Comme ça, cela empêche à un joueur d'être invincible et cela est la conséquence de la fragmentation de Alphilya.
-Mais c'est de la triche !
-Les disques de duel ne considèrent pas le dust comme de la triche, de plus les personnes qui utilisent le dust se font généralement pas trop remarquer car c'est impossible de vérifier les actions du joueur, tous les tournois se reposent uniquement sur l'utilisation du disque comme seul juge.
-Mais ça veut dire que des joueurs de niveaux mondial pourrait utiliser le dust ?
-C'est probable.
-Mais qu'est ce que ça à voir avec la destruction du monde ?
-Eh bien, en ce moment. Une organisation secrète répondant au doux nom de Arcadia tente de trouver un moyen pour allier tout les compétences du Dust en une seule personne qui est, évidemment, leur leader. Imagine alors que leur leader possèdent alors tout les Dust et qui puisse engager n'importe quel personne dans un duel des ténèbres. Pour faire simple, ils veulent transformer le dirigeant de Arcadia en alfilyen.
-Il pourrait régner sur le monde sans que personne ne puisse l'arrêter.
-Exactement, et vu que notre dieu est porté disparus depuis mille ans, on ne pourra pas compter sur lui.
-Mais, ça veut dire que je dois aller tous les battre en duel ? Je suis une sorte d'élu, non ?
-Non, désolé de te décevoir mais tu n'es pas l'élu. C'est une autre personne. Malheureusement, je ne connais ni son nom, ni son visage. Mais il paraît qu'il jouerait un deck légendaire totalement ridicule et il serait toujours accompagné d'une fille aux cheveux roses.
-J'en connais une de fille comme ça, je crois…
-Ah ! Mais c'est parfait ça ! Il suffit d'aller la voir et puis ce sera bon !
-Mais le lycée ne reprend que dans deux semaines et je ne sais pas où elle habite.
-Tu connais son nom ?
-Non.
-Bon, bah on va devoir attendre.
-Ouais… Au fait vous avez quel âge ?
-Sept-cent-soixante-quatorze ans.
-Quoi ?!
-Bah, je suis un alfilyen moi aussi, je contrôle le dust donc je ne trouve ça pas très étonnant.
-Mais vous restez un être humain n'est ce pas ? Comment est ce possible ?
-Quand on parle des alfilyens de sang pur ou quasi pur, on ne peut plus trop parler d'être humain finalement.
-D'accord, je vois. Donc j'abrite un surhomme en moi ?
-Si tu le prends comme ça.
Un silence se fit pendant un petit instant puis il fut brisé par la fille.
-Tu parlais d'élu, il y a une prophétie à propos de ce que vous venez de dire ?
-Sûrement, mais je ne m'en rappelle plus, désolé.
-C'est pas grave.
La discussion s'arrêta là, les jours suivants furent assez normaux pour la fille qui en profitait pour bien assimiler les nouveaux principes que lui apprenait Bill. Malgré l'insistance de la fille pour que Bill lui apprenne le Dust, il répondait à chaque fois que ce n'était pas possible et que même si il le voulait, il ne le pourrait pas car elle n'avait pas de sang alfilyen aussi infime soit-il qui coulait dans ses veines. Elle conversait longtemps avec l'homme et appris toute sorte de choses à propos des époques antérieur et des alfilyens. Elle apprit alors à reconnaître l'utilisation d'un Dust lors d'un duel.
Puis arriva le jour de la rentrée, le matin elle se dirigea vers le lycée dans l'espoir de rencontrer ce fameux élu accompagné de cette fille aux cheveux roses qu'elle connaissait de loin. Alors qu'elle marchait dans le centre-ville en regardant, dans le ciel, les timides rayons matinale du soleil sortirent d'entre les nuages, elle vit une faille dimensionnel s'ouvrir dans le ciel puis un jeune homme en sortir portant deux sac à dos. Elle détourna rapidement le regard, pensant que c'était encore une fois, un lycéen stupide qui avait voulu faire un petit dimensionnel pour le fun. Quelque minutes plus tard, un grand dragon bleu passa au dessus de sa tête à toute allure et elle croisa le regard du jeune homme qui était assis sur le dragon et aperçus de dos la fille aux cheveux roses au nom inconnu. Elle fut tout d'abord stupéfait par la surprise d'avoir trouvé aussi rapidement les deux personnes qu'elle recherchait mais elle pesta ensuite contre eux car il était interdit d'invoquer des monstres volants en ville. Elle comprit aussi qu'ils partaient en direction du lycée où elle s'y dirigeait. Elle prit alors son temps pour finir le trajet, le temps d'admirer la paysage qui défilait sur son chemin. Arrivé devant le lycée, elle contourna le bâtiment pour passer dans une ouverture de la barrière qui donnait place à la face nord du lycée et à la plupart des fenêtres des classes. Elle s'assit alors à coté d'un arbre puis entreprit une petite conversation avec Bill sur la vérité de son nom. Il lui répondit que c'était effectivement un faux nom car son nom alfilyen était difficilement traduisible en japonais et cela clos la discussion.
Après une longue heure, elle se leva et alla observer, depuis le petit jardin derrière le lycée, les personnes présentes dans les salles de classes et elle vit de nouveau ce garçon qui était à une place à coté de la fenêtre. Elle le fixa un long moment puis – quand il remarqua l’intérêt que la fille lui portait – il fit de même. Lorsque la sonnerie sonna, elle attendit un petit moment puis vit le garçon sortir du bâtiment puis se diriger vers elle. Elle se tourna vers la fenêtre puis dit semblant de ne pas l'avoir aperçue. Le garçon essaya la surprendre avec son stupide « bouh » et elle fit semblant d'être surprise puis ils entamèrent une discussion entre eux, jusqu' à ce qu'il lui demanda son nom.
Elle répondit alors :
« Moi ? Je suis Shiori. »
To be continued…
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