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Rêve ta Fiction ! (4ème Edition)
Aron
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Messages : 4781


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Rêve ta Fiction ! (4ème Edition) posté le [09/06/2016] à 23:52

Je n'ai reçu que 2 poèmes pour l'instant. Allez ! laissez parler votre imagination !


DustyBowl
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Rêve ta Fiction ! (4ème Edition) posté le [10/06/2016] à 00:25

Citation de Aron Le [09/06/2016] à 23:52

Je n'ai reçu que 2 poèmes pour l'instant. Allez ! laissez parler votre imagination !


Daisuke, Love et moi.


Je suis pas très fort en maths mais je suis sûr que ça fait 3 personnes. 😀



« Where are you Toko? »

Aron
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Rêve ta Fiction ! (4ème Edition) posté le [10/06/2016] à 14:01

Citation de DustyBowl Le [10/06/2016] à 00:25

Daisuke, Love et moi.


Je suis pas très fort en maths mais je suis sûr que ça fait 3 personnes. 😀


Certes.


Aron
Membre
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Rêve ta Fiction ! (4ème Edition) posté le [11/06/2016] à 20:08

Up ! Nous avons 4 participants et 5 poèmes assurés ! Je réduis la durée des envois de poème à ce dimanche car mercredi et plus tard, je ne pourrais pas m'en occuper et que j'ai reçue assez de participations pour que ce soit convenable.



Fin des durées d'envois des poèmes : Dimanche 12 Juin à 23h.


cmawesome
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Rêve ta Fiction ! (4ème Edition) posté le [11/06/2016] à 20:47

aie ça pique ^^ moi qui me suis dit "me reste 5 jours pour m'y mettre" ^^ okok alors j'essaie de faire un truc apres le match de ce soir ou demain 🙂


https://www.youtube.com/watch?v=d4gqsJ3Fz1k

Aron
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Rêve ta Fiction ! (4ème Edition) posté le [11/06/2016] à 21:10

Justement, faudrait que t'arrêtes de t'y prendre au dernier moment à chaque fois :3


cmawesome
Membre
Messages : 2801


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Rêve ta Fiction ! (4ème Edition) posté le [11/06/2016] à 21:49

Citation de Aron Le [11/06/2016] à 21:10

Justement, faudrait que t'arrêtes de t'y prendre au dernier moment à chaque fois :3


Oui monsieur ^^


https://www.youtube.com/watch?v=d4gqsJ3Fz1k

Quadriforce
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Messages : 317


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Rêve ta Fiction ! (4ème Edition) posté le [11/06/2016] à 22:01

ça devrait aller pour moi, je t'envoie le mien ce soir.


Aron
Membre
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Rêve ta Fiction ! (4ème Edition) posté le [12/06/2016] à 21:06

Quadriforce m'a envoyé son poème, il ne reste plus que 2 heures !


Aron
Membre
Messages : 4781


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Rêve ta Fiction ! (4ème Edition) posté le [13/06/2016] à 00:00

Le temps imparti pour rendre les poèmes est finit et maintenant, il est temps de laisser place à la critique ! Voici les différents poèmes !


J'ai laissé les noms des participants car le but du concours reste l'entraide et non la compétition. Le poème bonus est le mien car j'ai l'avantage d'être organisateur ce qui n'est pas équitable par rapport aux autres participants. Libre à vous de m'intégrer dans votre classement. Bonne lecture !


Daisuke



Spoiler :



Elle est la reine des contes, plus fascinante que le soleil,

Voyant du dessous du monde toutes les merveilles,

Attirant bien des hommes et femmes en son sein,

Sachant qu’elle est l’inspiration de bien des refrains,

Illuminée et radieuse en hiver comme en été,

Ornée et décorée de faune en grande variété,

Nul n’oserait s’y mesurer, nul n’oserait si frotter.



DustyBowl



Spoiler :



Observez donc la délicate Ondée,

Bataillant dans le remous de la Mer.

De sa lutte chimérique traçant un sillon,

Fendant les vagues, brisant l’alcide.


Aucun ne s’opposera à son trajet,

Ni le songe de la défaite amère,

Ni moins l’inéluctable disparition,

Nul ne résistera sa force intrépide.


Dissimulés, dans l’obscure marée,

Elle n’a crainte de ses adversaires.

Au gré de l’eau, sans aliénation,

Elle survit, brandissant son Égide.


Mais ce n’est pas la fin de l’Ondée.

Bataillant dans le remous de la Mer,

Vivant dans le courant des embarcations,

Elle continuera à voguer telle une Néreide.



Love



Spoiler :



Cap sur la mer

Est-ce nécessaire ?


Pour prendre l’air

Même atmosphère


Décompresser

Autant stagner


Mirer le ciel

Rien d’essentiel


Voir l’horizon

Simple ligne de fond


Vers l’inconnu

Vide étendu


Rêver le large

A vivre en marge ?


L’eau bleu azure

De la saumure


Sentir le vent

Quel important ?


La sensation

Belle illusion


Parfum d’écume

Forcer un rhume


Retour nature

Plus rien de pure


Le sable chaud

Est pris d’assaut


Bronzer solaire

Si temporaire


Faire quelques brasses

Baigneurs en masse


Au loin nager

Vagues octuplées


Il reste le port

Statique décor


Plein de voiliers

Trépas ancrés


Suivre les oiseaux

Rien de nouveau


D’ou ces lumières ?

Documentaires



LeChatQuiFlatule



Spoiler :



Le Léviathan


C’était, ce jour-là, je me souviens.

Un jour de grandes perturbations,

Il y eut de puissants courants marins,

Faisant voler notre embarcation.


Sur la tête l’eau nous tombais,

Telle une pluie de pavés

Et le froid jusqu’au os nous gelaient.

C’est alors qu’au loin je l’ai regardé,


Dépassant des flots une forme noire, sa trogne

Aussi grande qu’une montagne.

Une forme ovale vert- jaune, son œil

Brillait au centre de cette peau de corail.


Elle aussi était en train de me regarder.

À ce moment, j’étais loin de me douter,

Que je venais de rencontrer

Une de mes amies les plus fidèles.



Quadriforce



Spoiler :



Cette mer


Elle était là, devant moi comme à chaque fois

Cette mer où je patauge jour comme nuit

Cette mer qui même à l’horizon ne finit

L’océan de déchets dans lequel je me noie.


Un vague dégout me prend encore ce matin

Ma vie n’est que carton, métal et plastique

Un travail épuisant, humiliant, physique

Dans lequel je me jette pour quelques bouts de pain.


De l’eau ici ? Il ne reste pas une goutte

De la source couverte par les détritus

Un ruisseau maintenant bétonné sous la route

Enfer à ciel ouvert qui lentement nous tue.


Quel pêché a t-on commis pour un tel poison ?

Sinon d’être nés loin, loin de cette autre mer

Cette belle mer turquoise, dans laquelle on se perd

L’océan de dollars des Hommes aux millions.


Ici c’est la misère qui lentement s’entasse

Inlassablement, comme toujours, à la surface.

Tous les produits laids, passés de mode, consommés

Tout ce que dans le Nord on finit par jeter.


Avenir perdu au milieu des épaves,

Ma vie se lie à la mer, qui me rend esclave

Je ne peux plus qu’accepter les quelques billets

Qu’alors finalement l’Occident me promet.



cmawesome



Spoiler :



La Mer


Au matin elle était calme et reposante;

On savait l’apprécier tant elle nous soulageait.

Un vent calme et divin l’accompagnait;

Et chacun pouvait y voir la marée débordante.


Avançait ensuite la journée, réveillant la chaleur;

En elle respirait tant d’être qu’on l’avait rebaptisée,

Mare Nostrum.

Elle symbolisait le Sud dans les cœurs.


La fin d’après midi marquait sa puissance;

Le va et vient de ses vagues plein de constance

Posant la question de l’éternel recommencement;

Et qui pour réponse ne trouvait que les enfants.


Le soir enfin elle paraissait paisible,

chose qui à un autre lieu n’était pas possible.

La mer m’a toujours était familière;

Rassurante, éblouissante et resplendissante.


C’est vers elle que je me suis tourné,

Quand tout autour de moi je ne pouvais respirer,

Elle me releva et me transmit sa force,

Impériale et fière; telle avance la Mer.


Et rien de tout ce que l’Humain appelle progrès,

ne saura l’arrêter.

Malgré ouragan et tempête, sa marche en avant est lancée;

Elle reste à mes yeux la plus forte.


A présent voici le message, la Mer au Sud

C’est Zeus dans la mythologie;

Elle est la reine de ces lieux pour notre plaisir;

Et le Sud l’aime pour ce qu’elle est : notre havre de paix;

Notre éternité; notre mère.

Notre Mer.



Poeme Bonus : AronGomu



Spoiler :



J’entendais au loin le son de la mer. Une douce chaleur flottait dans l’air. Le sable tournait tandis que mes cheveux s’envolaient, me dégageant la vue sur cette terre battu où vécurent mes ancêtres.

Qu’il était bon ! de sentir le sel marin ! De parcourir de nouveaux les rocher, sur lesquels j’avais autrefois laissé ma trace de mes godasses mouillées, m’arrêtant quelques fois pour plonger le regard dans l’interstice abyssal de deux blocs, observant les crabes qui se terraient dans l’obscurité, muni pour seul arme, d’un bâton qui, rapidement, rendait l’âme.

Les souvenirs nostalgiques affluaient, brouillant l’essence de ma pensée. Je me trouvais sur le lieu de ma naissance, de mon enfance, de mon adolescence et de mon passé. Je contemplais mes racines, sous un plafond azuréen. Les nuages blancs passaient avec entrain. Le soleil irradiait de sa lumière astrale, réchauffant mon cœur d’amont en aval. Pourtant, les feuilles jaunis tombaient déjà, et dans quelques temps la neige tombera.

Nérée ondulait en une infinité de vague, chacune de ses ondes étaient uniques, de par sa taille, sa puissance, sa grandeur, sa lourdeur. Certaines étaient petites, d’autres plus grandes. Mais elles partageaient toutes le même destin, celui de se briser sur les côtes, en vain.

Prenez garde ! Si la houle caresse sagement votre peau, elle peut également se mettre colère et grandir pour devenir aussi imposante qu’une montagne. Et ce sera sur ces mêmes pieds que se déversera un rempart d’eau.

Je marchais à travers les décombres. Pas de doute, il n’y avait plus d’ombres. Hier je l’apprenais, et aujourd’hui je le constate. Mon ancienne demeure est devenue plate. Ce que la nature donne, la mer le reprend, et cela au dépend de l’homme. De mon visage, une perle se détacha. Je jetai mon regard sur le paysage m’environnant. C’est tout de même incroyable…


…il fait sacrément beau aujourd’hui…




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