Salut,

Citation de KAAMerlin Le [23/08/2022] à 22:08

Bonjour, je ne comprends toujours pas pourquoi "Guerrier de l'Atlantide" peut activer et résoudre son effet, car en effet il ajoute un "Océan Légendaire" or cette carte n'existe techniquement pas car elle est toujours traitée comme étant "Umi".

Il y a bien le nom "Océan Légendaire" imprimé sur la carte, ce qui suffit à rendre cet effet légitime, tout simplement. Ce n'est parce qu'il est "traité comme" autre chose qu'il n'existe plus en toutes circonstances, à la différence d'un cas qui indiquerait que son nom "devient" un autre, ce n'est pas tout à fait équivalent.

Tâche d'éviter les citations imbriquées, ça alourdit les topics alors que c'est inutile dans la très grande majorité des cas. Là typiquement, pas besoin de rappeler ton propre message pour me répondre. Merci !

Citation de KAAMerlin Le [23/08/2022] à 23:31

cependant avec Prohibition par exemple on ne peut pas déclarer le nom "Océan Légendaire"

Déclarer un nom de carte et en chercher une nommée en toutes lettres par un texte dans le deck, ce n'est pas la même chose donc ça n'obéit pas aux mêmes règles et, par suite, l'analogie avec Prohibition n'est pas pertinente ici. C'est comme si tu demandais pourquoi un monstre qui n'a pas été affectée par un effet comme celui de Appel du Troupeau ne peut cependant pas attaquer tant qu'il est en Position en Défense, alors que rien ne l'a privé de sa capacité à le faire.

Il y a t'il une vrai raison, ou c'est juste Konami qui autorise juste dans ce cas précis ?

D'ailleurs, le problème vient peut-être de cette logique-là, finalement ^^ En quoi l'autoriser dans ce cas spécifique n'est pas une "vraie" raison ? Pourquoi vouloir expliquer des règles qui ont été définies au départ, alors que ce sont elles qui sont censées servir à expliquer les choses et non l'inverse ? Par principe, une règle est quelque chose que l'on applique, pas quelque chose que l'on démontre. Ici ce n'est ni plus ni moins que ça : le simple fait que le texte de Guerrier de l'Atlantide soit ce qu'il est prouve l'existence de la règle dont il est question, sans nécessité qu'il y ait une explication.