han du sadisme heu tu vas pas un peu trop loin la ?

j'en ai plus mis de sadisme mais ya de grande chance que j'en remette au porochain chapitre

hinata online il y es dessus

Vous penseiez que vous ne l'auriez pas à temps ? Eh bien, pourtant, si, le voilà. On entre dans les chapitres à deux chiffres ?

Bonne lecture !

Chapitre 10 – Bains et jetons

Vegan avait gagné ses deux premiers duels. Il était qualifié. Et il se retrouvait maintenant face à… Sheppard ! Il était effrayé, mais en même temps curieux de voir le deck du professeur. C'était la première fois de l'année qu'on le voyait combattre. Il prit place au centre du Terrain des Sept Esprits… il était l'heure…

Sheppard arriva quelques minutes plus tard, son manteau jaune terne, sa chevelure ébouriffée et sa barbe volant dans le vent. Son Disk de duel avait une apparence particulière… il était très élancé, avait une forme qui rappelait un peu des ailes d'avion. Et il était d'un bleu profond, d'un bleu qui égare le regard, un bleu dans lequel on se noie. Ainsi équipé, Sheppard était vêtu de sérénité et de son uniforme d'autant plus éclatant.

Il se plaça face à Vegan.

– Commence, mon garçon, dit-il avec son éternel ton avenant.

[Mode Duel activé] fit le Disk de Sheppard.

Vegan [4000] : Votre Disk… il parle ?

Sheppard [4000] : Oui, c'est une petite amélioration des Disk les plus modernes. Il paraît que les meilleurs élèves du tournoi recevront des Disk personnalisés ultra-modernes… Mais joue, mon garçon

Vegan [4000] : Très bien… Je pose deux cartes, et j'active Ville des Engrenages. Maintenant, j'active Violent Orage, ce qui envoie mes deux Statues du Maléfique puis ma Ville des Engrenages au cimetière. Je peux donc invoquer spécialement Dragon Gadjiltron Rouages Ancients puis deux Jetons Nuisibles.

Sheppard [4000] : Ah, des jetons ! Continue, petit, c'est bien, c'est bien !

Vegan [4000] : Sheppard-sensei… vous devez m'affronter, pas m'encourager… enfin, je sacrifie mes jetons pour invoquer Golem Rouages Ancients. À vous de jouer, Sensei.

Sheppard [4000] : Joli, mon garçon. Enfin… Je commence par activer Destruction de Main. Chacun se défausse de deux cartes et en pioche deux. Comme mon Bête Fantôme Méca Impula Bleu est au cimetière et que je n'ai aucun monstre, je le retire du jeu pour invoquer un Jeton Bête Fantôme Méca. J'invoque ensuite Bête Fantôme Méca Harrliard. Je sacrifie mon Jeton par son effet pour invoquer Bête Fantôme Méca Coltaile, et deux nouveaux Jetons. J'invoque ensuite Bête Fantôme Méca Kalgriffin en sacrifiant Harrliard et un Jeton. Comme je n'ai plus qu'un seul Jeton, Coltaile passe au niveau 7. Je fais l'invocation xyz de Bête Fantôme Méca Dracossac en utilisant Coltaile et Kalgriffin ; je l'équipe de l'Armure en or massif, pour que tu ne puisses attaquer que lui ; mais il est indestructible tant que mon jeton est toujours là. J'active enfin Solidarité. Ma main se retrouve vide, mais Dracossac a 3400 ! J'attaque ton Ancients !

Vegan [3600] : Zzzzz… Hein, quoi ? Mon Golem !

Sheppard [4000] : À toi de jouer, mon garçon.

Vegan [3600] : Je suis contraint de jouer la défense… Je passe mon Dragon en position de défense… À vous, sensei

Sheppard [4000] : J'invoque Bête Fantôme Méca Louplonge ; grâce à la Solidarité, son attaque passe à 2500 ! Et il fait apparaître un second Jeton sur mon terrain ; son niveau monte à 10 ! Il attaque ton Dragon. Enfin, Dracossac et les Jetons t'achèvent.

[Victoire ; Mode Duel terminé]

Vegan n'avait eu aucune chance… Ce n'avait pas été un Duel, mais une éxécution. Il était qualifié, mais il savait qu'il ne gagnerait pas le tournoi. Ces professeurs étaient trop forts… Il n'osait même pas imaginer le vrai niveau de Cyrio… Néanmoins, il était qualifié, c'était l'essentiel. Sheppard s'approcha de lui et lui serra la main.

– Bonne chance, mon garçon, déclara-t-il, toujours aussi enjoué. Peut-être me réaffronteras-tu plus loin dans la compétition ?

Vegan prit le chemin qui menait au dortoir. Il croisa Dorie en chemin.

– Alors, c'était comment ? s'enquit-elle

– Ils sont invincibles… C'est un professeur qui va gagner le tournoi, c'est sûr. Bonne chance pur ton duel.

– Merci, mais j'espère que ça ne durera pas trop longtemps, car il faut que je termine de faire mes affaires…

– Tout le monde doit être au Pavillon du nord au coucher du soleil, c'est ça ? Ça laisse encore quelques heures.

– Oui, mais il faut que j'y sois tôt pour choisir la chambre qui me plaît. Sinon, je risque de me retrouver avec une porte communicante avec la chambre d'un garçon…

– Oh, si le garçon était Mathys, ça ne te gênerait pas, n'est-ce pas ?

– Qu'est-ce que tu racontes, toi ? Mathys n'a rien de particulier ! Il faut arrêter de m'inventer une passion pour lui, les gens vont finir par te croire… Eh, reviens ici, sale garnement !

Vegan s'était échappé en courant…

Dorie reprit sa route, tourmentée par les paroles de Crowler… Ses sentiments ne pouvaient pas être si visibles, ce n'était pas acceptable. Elle était une lady. Elle devait se comporter avec pudeur, et tenir droite, toujours tenir droite…

Jam se volatilisa dans une chambre, lorsque Jinid laissa Fergus pour se diriger vers la sortie du bâtiment. Il décida de la suivre. Jinid fit une escale au dortoir Rouge, pour y prendre quelques affaires, et se dirigea vers le centre de l'île. Curieux de savoir où elle allait, et pensant ne pas être repéré, Jam la suivit, à travers les bois rendus dorés par la lumière de l'astre solaire, à travers toute l'île, jusqu'à arriver… Aux sources chaudes ! Jam, invisible, se glissa dans les vestiaires des filles, où il observa avec passion Jinid se déshabiller, cette jeune fille si belle, si mignonne, à l'œil bleu et à l'œil blanc, dénudant son corps fin et gracile, seule fille dans le vestiaire. Elle n'avait nulle imperfection, sa peau de nacre étincelait presque dans la lumière du vestiaire, sa chevelure d'or scintillait. Sa poitrine presque plate, aux auréoles assez fines, accapara de regard du voyeur. Elle se couvrit d'une serviette et se dirigea vers le bain réservé aux filles. Jam passa lui-même au vestiaire, et entra dans les bains mixtes, où se trouvaient quelques garçons, et se dirigea vers le bain des filles. Il fallait pour y accéder retraverser les vestiaires des filles, déserts, avant d'entrer dans le paradis sur terre. Il y avait là Jinid, et 4 autres filles, toutes sans pudeur inutiles vis-à-vis des autres. Comme toujours, personne ne voyait Jam, mais lui voyait tout. Il détailla tous ces corps exposés à sa vue, chaque visage, chaque poitrine, chaque… il évita de justesse une blonde qui entrait en trombe dans le bain : il reconnut Camille, à la taille de l'énorme poitrine. Elle semblait à moitié endormie. Elle alla se serrer contre Jinid, qui lui murmura quelques mots à l'oreille. Elles sortirent. Jam, curieux, les suivit jusque dans les bains des hommes, comme toujours déserts. Là, il les trouva enlacées. Surpris, il s'arrêta sur le seuil. Il ne fut que plus tétanisé quand Jinid déclara :

– Entre donc, Jam. Je t'attendais…

– Tu… tu peux… me voir ? parvint-il à articuler

– Je peux me soustraire au pouvoir des élus, dit-elle sur un ton mystérieux. Il en est ainsi. Cesse de poser des questions, et viens. Comme je te l'ai dit, je t'attendais. La demoiselle est en besoin d'hommes, viens donc sceller une union avec elle… ajouta-t-elle, susurrant… Viens…

– Non… murmura Jam. Celle que je veux, c'est toi… tu es tout ce qu'il me faut, Jinid. Je t'aime.

Elle s'approcha de lui, et collant son corps nu contre le sien, elle l'embrassa. Jam aperçut un éclat jaune dans son œil pâle. Derrière le désir, en lui naquit une peur inexplicable. Son instinct lui disait de fuir. Elle le prit par la main, et il la suivit.

Akiro et Aurore avaient passé la fin de l'après-midi lovés l'un contre l'autre, à regarder des films, à parler de tout et de rien, à juste écouter le silence, à s'embrasser. Aurore regarda l'heure, et proposa :

– Allons prendre un bain, pour la fin de cette journée. Il est presque minuit, on va terminer la journée comme ça. Il y a une grande salle de bain dans cette chambre.

– D'accord, allons-y, répondit Akiro.

Ainsi fut fait, et quand minuit sonna, ils étaient côte à côte dans la baignoire. Aurore réagit immédiatement.

– Tu m'appartiens, maintenant ! Allez, sors de là, esclave ! Et appelle-moi maîtresse !

– Oui, maîtresse. Je dois vous obéir, maîtresse. Mais, je pose deux conditions : retire ta main de mes fesses, tu n'y touches ni toi-même, ni avec des accessoires, et tu n'as aucune autorité là où tout le monde peut nous voir.

– Oh, on veut sauver son petit derrière ? C'est mignon. Maintenant, allonge-toi sur cette table, et prends cette télécommande.

Elle l'attacha sur la table, et sortit une cravache d'un tiroir.

– Tu vas mettre la chaîne que je t'indique à la télé. Et je ne veux pas que tu cries, à part pour me remercier ou pour me dire que tu m'aimes. Allez, esclave, la 9 !

*Le Parti du Jeu a pris le pouvoir à Domin*

La 18 !

*Rebaptisée New Dom* Je vous aime, maîtresse ! *tout le système économique est à présent basé sur les cart* Ahh !

La 963 ! Oh, maîtresse, merci ! Je… je ne peux pas ! Silence, esclave ! Tu parles trop !

Et Aurore s'assit sur le visage d'Akiro. Ils firent du bruit jusque tard dans la nuit, sous le regard insouciant des étoiles. Le fouet claque. Leurs sentiments trop contenus explosent. Voilà l'expression de leur affection. Les jours de bonheur passent si vite, et leur seront si peu nombreux…

La dernière scène, c'est en partie inspiré de trucs que j'ai trouvés au fil de mes errances sur internet (mbg reconnaîtra peut-être les pratiques de Katja Kurae, Qwaser du cuivre…)

Mais j'ai planqué une information importante dans la scène.